Crazy Paratroopers
Duffield W. Matson a commencé sa carrière en tant que parachutiste dans le 517th Parachute Infantry Regiment.
Alors en permission à Rome, Matson se retrouve dans une prison militaire à l’extérieur de Rome pour avoir mutilé un lieutenant de la police militaire assortis d’autres actes de violence. Plus tôt, Matson avait été passé en cour martiale trois fois pour tentative d’assassinat. Emprisonné en attendant son procès où il est certain qu’il sera condamné à mort ou à la perpétuité. Duff Matson, par son propre aveu, été un « misérable son-of-a-bitch », une description qui n’était pas contesté par ses camarades.
Un matin, après avoir été enfermé pendant 45 jours, Matson est escorté de la prison par deux officiers parachutistes du General Frederick.
Chacun des deux officiers l’escorte avec une Tommy Gun, sans aucun doute à cause de la réputation violente de Matson. L’un d’eux dit fermement à Matson : « Le général veut te voir. Il te connait et pense que tu ferais un sacré bon combattant. » Puis vint un mot d’avertissement : « N’essaye pas de nous échapper ou je t’explose ta putain d’tête ! »
Allant au Quartier Général de la FABTF à l’extérieur de Rome, Matson est brièvement questionné par Frederick « J’ai besoin d’un garde du corps. Je pense que vous me protègerais si vous vous joignez à nous ». Abasourdi par la tournure dramatique des évènements de sa vie, Matson, enthousiaste, accepta.
Frederick, le patron de 37 ans de la FABTF n’était pas du genre à se préoccupé du passé d’un homme, demandant juste qu’il soit un féroce combattant, ayant plein de ressource et étant fidèle à ses camarades et son unité.
Matson sera ainsi parachuté en Provence en tant que garde du corps de Frederick, et se cassera la jambe. Fin septembre 1944, Matson fera partie de l’OSS et sera parachuté dans les Alpes.
Duff Matson avait pu racheter sa vie grâce à Robert Frederick.
Duffield W. Matson began his career as a paratrooper in the 517th Parachute Regimental Combat Team.
While on leave in Rome, Matson is found in a military prison outside Rome for mutilating a lieutenant of the military police accompanied by other acts of violence. Earlier, Matson had been court-martialled three times for attempted murder. Jailed pending trial where he is sure he will be sentenced to death or life imprisonment. Duff Matson, by his own admission, was a « miserable son-of-a-bitch », a description which was not disputed by his comrades.
One morning, after being locked up for 45 days, Matson is escorted from the prison by two paratroopers officers of General Frederick
Each of the two officers escorting him with a Tommy Gun, no doubt because of the violent reputation of Matson. One of them said Matson firmly: « The general wants to see you. He knows you and think you’d make a damn good fighter. « Then came a word of warning: « Do not try to escape or I’ll blow your fucking head! «
Going Headquarters of the FABTF outside Rome, Matson was briefly questioned by Frederick « I need a bodyguard. I think you would protect me if you join us. » Stunned by the dramatic turn of events in his life, Matson, enthusiastic, agreed.
Frederick, the FABTF boss of 37th years old was not one to be concerned about the past of a man asking just that he is a fierce fighter, having resourceful and being faithful to his comrades and his unit.
Matson will thus parachuted in Provence as Frederick’ bodyguard, and break his leg. In late September 1944, Matson will be part of the OSS and will be dropped in the Alps.
Duff Matson could redeem her life thanks to Robert Frederick.
Woodrow W. McQuaid un des hommes du rang le plus connus du 517th PIR, était un tueur sur les champs de bataille mais un ivrogne incontrôlable lorsqu’on le retirait de la ligne de front.
On pourrait commencer son histoire en 1936, lorsque le journal de Baton Rouge le mentionne dans un article pour une condamnation lorsqu’il était en possession de marijuana.
La rumeur raconte qu’il avait eu le choix entre rester en prison ou de rejoindre l’armée. Son choix se porta sur l’aéroportée.
Lors d’une permission à Rome en italie, McQuaid se retrouve tout seul dans un bar, complètement saoul, entouré de sympathisant fasciste n’appréciant pas la présence d’un para américain, l’un d’eux lui fait savoir en lui montrant son poignard. A la grande surprise d’un des sympathisant, McQuaid a dans son pantalon un Beretta 32 et dans cette altercation, ni une ni deux, McQuaid sort son arme et abat l’italien. McQuaid leur apprend une leçon « ne jamais brandir un couteau dans une fusillade. » et s’en va. Le maire lance rapidement après un avis de recherche pour meurtre. Melvin Zais son commandant du 3/517th le sauve de peu et l’autorise à sauter pour Dragoon.
A St. Cezaire, il fait partie avec Frank Dallas, des deux troopers à faire voler en éclat la ligne de résistance allemande. Lors de l’attaque de la Tête de la Lavina du 18 septembre, il attaque à lui tout seul un blockhaus allemand et fait 8 prisonniers. Après l’attaque, il trouve sur l’un des prisonniers un P38 chromé. Pour se faire pardonner, il l’offre à Melvin Zais.
Après la guerre, Woodrow McQuaid ne gardera plus le contact avec le 517th. Il se volatilisera. Il est décédé en 1981. Il avait 71 ans.
Woodrow W. McQuaid one of the men of the best-known ranking of 517th PIR, was a killer on the battlefield but an uncontrollable drunk when withdrawing the front line.
We could start its history in 1936, when the Baton Rouge newspaper mentions him in an article for a conviction when he was in possession of marijuana.
The rumor says that he had the choice between staying in prison or join the Army. His choice was airborne.
During a leave in Rome in Italy, McQuaid finds himself alone in a bar, drunk, surrounded by fascist sympathizer did not like the presence of an American para, one of them informed him by showing him his dagger. To the surprise of a sympathizer, McQuaid was packing in his pants a Beretta 32 and in this altercation, McQuaid pulls out his gun and shot the Italian. McQuaid teaches them a lesson « never take a knife in a gunfight. « and goes. The Mayor of the town wanted Mcquaid charged with murder. Melvin Zais its CO saves him and authorizes him to jump for Operation Dragoon.
In St. Cezaire, it belongs with Frank Dallas, of the two troopers to storm the German resistance line. During the attack of the Tête de la Lavina on September 18, attacks by himself a German blockhouse and take 8 prisoners. After the attack, he found on one of the prisoners a chrome P38. To make amends, he gives Melvin Zais.
After the war, Woodrow McQuaid no longer maintain contact with the 517th. It will volatilize. He died in 1981. He was 71 years old.
Willie F. Brown faisait partie des 39 pionniers du Parachute Test Platoon qui tenta le premier saut expérimental de l’US Airborne le 16 aout 1940. Spotlight était un incroyable soldat pour beaucoup d’homme, un leader né, coriace, et très débrouillard mais aussi un rebelle né.
C’est lors d’un après-midi ensoleiller lorsque les 539 officiers et EM du 551st se trouvent sur le champ de parade attendant au repos et l’autorisation de sortie pour le week-end. Le bataillon entier se gratte à cause des insectes venimeux, cuisant et transpirant sous le soleil de Panama. Le Major Joerg regarde sa montre où il se trouve être 6 heures de l’après-midi. Il demande ensuite à l’adjudant du bataillon, le Lt. Hugh « Soft Shoe » Robinson de mettre le bataillon au garde à vous. « BA-TAI-LLON ! GARDE-A-VOUS ! »
En même temps on pouvait entendre « SQUAD – REPOS ! »
Les hommes du 3rd squad, 2nd platoon de la C Company se mettent au repos. La confusion règne et les murmures se font entendre aux rangs des officiers. Mais toute la C Company entend le contrordre et sait qui c’est : le Sgt. Willie « Spotlight » Brown, 3rd squad leader. Spotlight connu aussi sous le surnom de « Burr Head » Brown avait une fois tiré avec son .45 dans un baraquement. Spotlight, complètement défoncée par la Marijuana n’avait pas été capable d’ouvrir son baraquement et avait fait sauter le cadenas avec son arme ! Il avait aussi l’habitude bizarre de se cacher sous son parachute sur les zones de largage après les sauts d’entrainement.
Le Capt. Bill Smith commandant de C/551 à ce moment là avait identifié le coupable et rétorqua : 2nd Platoon, 3rd Squad, GARDE-A-VOUS ! Brown hurle immédiatement un cri à glacer le sang entendu par tout le bataillon mais aussi son unité sœur, le 550th IAB, se tenant à 100 mètres de là : « MON SQUAD-REPOS ! »
Le Major Joerg fait un signe de la tête à Robinson, fait un pas en avant et ordonne tout de suite après au Capt. Smith de placer Brown aux arrêts. Smith prend deux sergents sous son commandement pour mettre Brown à terre. Il crie et frappe comme si il était bouleversé en allant vers la caserne : « Goddamnit, ce sont mes hommes ! Je ne peux pas les laissé crevé sous le soleil ! »
Spotlight Brown fera partie de la 551st Pathfinder Team pour Dragoon.
Dans tous les cas, dieu avait rappelé Joerg et Spotlight au garde-à-vous durant la contre offensive des Ardennes et il les avait mis au repos.
Willie F. Brown was part of the 39 Parachute Test Platoon pioneers who tried the first experimental jump of the US Airborne on the 16 of August 1940. Spotlight was an amazing soldier for many of man, a born leader, tough, and very resourceful but also a rebel born.
It was a blistering Saturday afternoon when all 539 officers and men of the the battalion stood on the parade grounds waiting for the final « retreat » order that would allow them to plunge into their saturday night leave ad Sunday holy hangover. The battalion scratched at fire ant and bedbug bites and poison ivy-like beach apples. Sweat poured down their faces. Major Joerg eyed his watch; when the minute hand hit the zenith and six o’clock, he shouted to the battalion’s adjudant, Lieutenant Hugh « Soft Shoe » Robinson: « Call the battalion to attention! » « BAAH-TAA-LEE-YAWN! TEN-SHUT! »
At the same time we can heard « My squad-AAT-EEZ! »
The members of the 3rd squad, 2nd Platoon of C Company dropped their salutes and wilted. There was confusion and murmuring among the officers in front, but all Company C had heard the countercommand and knew whose it was: Sgt. Willie ‘Spotlight’ Brown, 3rd squad leader. Spotlight also known by the nickname « Burr Head » Brown had once fired his .45 in a barrack. Spotlight, completely screwed by the Marijuana was not able to open his hut and had blown the padlock with his gun! He also had the odd habit of hiding under his parachute on the drop zones after the training jumps.
Now, Capt. Bill Smith, who commander C Company at the time, identified the culprit and barker, « 2nd Platoon, 3rd squad: TENSION! » Choking with bile, Brown uncorked a blood-curdling scream head by the entire battalion and the 550th Infantry Airborne Battalion 100 yards away: I-SAID-MY SQUAAAD-AT-EEZ! »
Major Joerg made a nod to Robinson, stepped forward and ordered right after Capt. Smith placed Brown under arrest. Smith takes two sergeants under his command to put Brown down. He shouts and hits as if he was upset by going to the barracks, « Goddamnit, those men are mine! I ain’t gonna let them die in the sun! »
Spotlight Brown will be part of the 551st Pathfinder Team for Dragoon.
In any case, God reminded Joerg and Spotlight at attention during the Battle of the Bulge and he had put to rest.
On ne sait pas grand chose de la vie avant-guerre de John Walkmeister. Selon certaines rumeurs, c’était un ancien petit raquetteur de Chicago, ou peut-être même un ancien gangster. Walkmeister était le Forceman le plus connu de l’unité, non pas pour ses faits d’armes, mais pour ses manies. Jake se vanta d’avoir gagné 2000 $ en une seule semaine sur la tête de pont d’Anzio. Il aimé aller seul, derrières les lignes ennemis, rapporté quelques souvenirs et les vendre aux marins de la Navy pour qu’ils aient quelques souvenirs à ramené à la maison. Il était souvent vu entrain de boire des coups avec ses officiers. Il était dans toutes les affaires frauduleuse de la Force et avait créé un saloon à Gusville et même un réseau de prostitué pour les gars de la Force… et il avait pondu des fausses taxes sur tous les trophées qu’il pouvait avoir.
Un jour, il neutralise une position de mitrailleuse allemande. Le Lt. Col. Akehurst, commandant du 1st Regiment se trouve là. Walkmeister se retourne, lui sourit et dit : « Dit à Uncle Sam qu’il me doit 2500 $, c’est ce qu’on me devait quand je faisais ça à Chicago. »
Walkmeister devait être tué à Port Cros le 16 août 1944 alors qu’en soignant un blessé, il recevait un obus de mortier du côté du château d’eau à la pointe est de l’île. Il est décédé peu de temps après sur le bateau où les médecins avaient essayé de le soigné, sans succès… La légende raconte que Walkmeister, avec son argent et son influence avait réussi à simulé sa propre mort et à s’échappé. Avec son argent, il aurait acheté une maison sur la Riviera et y aurait vécu le restant de ses jours…
We do not know much about John Walkmeister’ life before the war. According to rumors, it was a small old snowshoer of Chicago, or maybe even a former gangster. Walkmeister was the best known Forceman of the unit, not for his exploits, but his mannerisms. Jake boasted of having won $ 2,000 in one week on the Anzio beachhead. He liked to go alone behind enemy lines, reported some souvenirs and sell them to the sailors of the Navy so they have few souvenirs taken for home. He was often seen spirited drinking shots with his officers. It was in all the fraudulent business of the Force and had created a saloon in Gusville and even a prostitute network for guys of the Force… and he had laid false charges on all the trophies he could have.
One day he neutralized a German machine gun position. Lt. Col. Akehurst, commander of the 1st Regiment is there. Walkmeister turned, smiled and said: « Says to Uncle Sam he has $ 2500 for me, that’s what we had when I was doing that in home. »
Walkmeister was to be killed in Port Cros August 16, 1944 while in a nursing wounded, he received a mortar shell on the side of the water tower at the eastern tip of the island. He died shortly after on the boat where the doctors had tried to neat, without success…
The legend tells that Walkmeister with his money and influence had successfully faked his own death and escape to. With his money, he would have bought a house on the Riviera and would have lived the rest of his life…